Il s’agit d’un dessin dont on ne connait pas le nom de son auteur, même pas l’année de sa réalisation. Les couleurs prédominantes sont le rouge, le noir et le jaune. Il y a deux personnes, une fille et, sans doute, un homme qui utilisent un ordinateur ; la fille est souriante, on peut voir des petits cœurs sur sa chemise, ce qui signifie qu’elle est tombée amoureuse, tandis que l’homme a une expression méchante et angoissante.
Le dessinateur voulait représenter un phénomène qui est devenu très sérieux pendant le cours du vingtième siècle et avec la naissance des réseaux sociaux et de l’internet : les risques liés à l’instauration d’une relation ou même, d’une amitié avec des personnes qu’on a connues sur le web. La gamme des risques est très vaste et ils peuvent affecter les personnes adultes, les adolescents et les catégories les plus faibles, les enfants et les personnes âgées.
Mais les relations qui se forment sur l’internet, sont-elles vraiment toujours dangereuses ? Pour commencer, des sondages révèlent que plus de la moitié des adolescents entre 13 ans et 18 ans ont un/e “meilleur/e ami/e à distance”, avec lequel ou laquelle ils parlent chaque jour de plusieurs questions, liées aussi à la vie privée ; ces amitiés se forment surtout à travers les réseaux sociaux qui permettent d’avoir une interaction directe entre les utilisateurs, par exemple Twitter et ces relations sont établies en parlant, à titre d’exemple, d’un “fandom” en commun, c’est-à-dire l’appartenance au même groupe de fans d’un chanteur, d’une série télévisée/cinématographique... ce sont des liens qui, souvent, terminent au moment où on deviennent plus mature et on abandonne les passions d’adolescents mais il y a beaucoup de cas où une amitié à distance reste très forte. Mais les sondages ne parlent pas seulement de l’amitié ; le nombre des couples qui se forment à travers les sites de rencontre, comme Tinder, et les réseaux sociaux comme Instagram augmente vertigineusement ; au début des années deux mille, les couples avaient un peu d’honte de dire qu’ils s’étaient connus sur l’internet mais, aujourd’hui, il est devenu une chose absolument normale ; en fait, il est difficile de se connaitre “à l’ancienne”.
Toutefois, les pièges augmentent : il y a plusieurs cas où des hommes adultes se sont fait passer pour des filles pour attirer de petites filles et les manipuler ; l’histoire de la femme française qui a été arnaquée par une personne qui a volé l’identité de l’acteur américain Brad Pitt, en modifiant ses photos avec l’utilisation de l’intelligence artificielle pour demander de l’argent pour de faux traitements médicales a devenu un cas international. Des autres études déclarent que la plupart des enfants qui utilisent quotidiennement les réseaux sociaux, TikTok en particulier, ne sont pas du tout contrôlés par leurs parents. Beaucoup de gens pensent que les utilisateurs de l’internet devraient être libres de faire ce qu’ils veulent sur ces sites ; au contraire, les victimes des arnaques numériques subissent, souvent, du “victim blaming”, une expression anglaise qui signifie faire des reproches à la victime, qui est considérée crédule et peu intelligente dans ces situations.
À mon avis, il faut se mettre à la place de la victime qui a eu, probablement, des raisons précises pour faire confiance à une personne connue sur l’internet ; un jeune solitaire qui cherche un ami, une personne seule qui a le désir de tomber amoureux, un enfant qui ne connait pas les pièges du web. Il faut comprendre qu’on se trouve dans un nouveau monde où les relations affectives se développent dans le monde du web aussi et donc, il faut communiquer des informations plus exhaustives aux jeunes, aux adultes et aux personnes âgées pour se protéger des malveillants digitaux et surtout, il faut introduire des sanctions pour les parents qui permettent aux enfants sous l'âge minimum d’utiliser les réseaux sociaux. Enfin, il faut, clairement, améliorer les systèmes de surveillance, afin d’attraper les criminels de l’internet.
Le dessinateur voulait représenter un phénomène qui est devenu très sérieux pendant le cours du vingtième siècle et avec la naissance des réseaux sociaux et de l’internet : les risques liés à l’instauration d’une relation ou même, d’une amitié avec des personnes qu’on a connues sur le web. La gamme des risques est très vaste et ils peuvent affecter les personnes adultes, les adolescents et les catégories les plus faibles, les enfants et les personnes âgées.
Mais les relations qui se forment sur l’internet, sont-elles vraiment toujours dangereuses ? Pour commencer, des sondages révèlent que plus de la moitié des adolescents entre 13 ans et 18 ans ont un/e “meilleur/e ami/e à distance”, avec lequel ou laquelle ils parlent chaque jour de plusieurs questions, liées aussi à la vie privée ; ces amitiés se forment surtout à travers les réseaux sociaux qui permettent d’avoir une interaction directe entre les utilisateurs, par exemple Twitter et ces relations sont établies en parlant, à titre d’exemple, d’un “fandom” en commun, c’est-à-dire l’appartenance au même groupe de fans d’un chanteur, d’une série télévisée/cinématographique... ce sont des liens qui, souvent, terminent au moment où on deviennent plus mature et on abandonne les passions d’adolescents mais il y a beaucoup de cas où une amitié à distance reste très forte. Mais les sondages ne parlent pas seulement de l’amitié ; le nombre des couples qui se forment à travers les sites de rencontre, comme Tinder, et les réseaux sociaux comme Instagram augmente vertigineusement ; au début des années deux mille, les couples avaient un peu d’honte de dire qu’ils s’étaient connus sur l’internet mais, aujourd’hui, il est devenu une chose absolument normale ; en fait, il est difficile de se connaitre “à l’ancienne”.
Toutefois, les pièges augmentent : il y a plusieurs cas où des hommes adultes se sont fait passer pour des filles pour attirer de petites filles et les manipuler ; l’histoire de la femme française qui a été arnaquée par une personne qui a volé l’identité de l’acteur américain Brad Pitt, en modifiant ses photos avec l’utilisation de l’intelligence artificielle pour demander de l’argent pour de faux traitements médicales a devenu un cas international. Des autres études déclarent que la plupart des enfants qui utilisent quotidiennement les réseaux sociaux, TikTok en particulier, ne sont pas du tout contrôlés par leurs parents. Beaucoup de gens pensent que les utilisateurs de l’internet devraient être libres de faire ce qu’ils veulent sur ces sites ; au contraire, les victimes des arnaques numériques subissent, souvent, du “victim blaming”, une expression anglaise qui signifie faire des reproches à la victime, qui est considérée crédule et peu intelligente dans ces situations.
À mon avis, il faut se mettre à la place de la victime qui a eu, probablement, des raisons précises pour faire confiance à une personne connue sur l’internet ; un jeune solitaire qui cherche un ami, une personne seule qui a le désir de tomber amoureux, un enfant qui ne connait pas les pièges du web. Il faut comprendre qu’on se trouve dans un nouveau monde où les relations affectives se développent dans le monde du web aussi et donc, il faut communiquer des informations plus exhaustives aux jeunes, aux adultes et aux personnes âgées pour se protéger des malveillants digitaux et surtout, il faut introduire des sanctions pour les parents qui permettent aux enfants sous l'âge minimum d’utiliser les réseaux sociaux. Enfin, il faut, clairement, améliorer les systèmes de surveillance, afin d’attraper les criminels de l’internet.