In riposta a Marie Senger
Ri: Description et argumentation DESSIN DE PRESSE
di Giulia Pia D'Onofrio -
Il s’agit d’un dessin réalisé, probablement, par un dessinateur professionnel où on peut voir, au premier plan, un homme, sans doute un journaliste, tout seul devant une feuille de papier, la seule chose éclairée par une petite lampe . L’expression du journaliste représente sa confusion en se trouvant dans une chambre sombre, totalement vide à l’exception de la poubelle sur le sol. Sur le mur, on peut voir l’écriture “Le Journal”, qui est désormais détruite, en symbolisant la condition d’abandon du lieu. Dans la partie supérieure du dessin, on voit une scène totalement différente, bien plus éclairée par un énorme PANNEAU jaune où on lit le mot “Web”. Il semble que les gens, dont on ne peut pas voir le visage, soient en train de faire une fête, puisqu’il y a le symbole de la note musicale, >>> (mais ils sont également dessinés avec des couleurs sombres, par exemple le gris, en opposition aux couleurs plus joyeuses des décorations.)
Le dessinateur veut représenter la condition actuelle de la presse, qui paraît un lieu abandonné, tandis que le web est devenu le principal moyen à travers lequel on peut s’informer, pour sa rapidité, son accessibilité qui, toutefois, sont souvent accompagnées par un manque de confiance envers les sources du web, à cause de la diffusion de fake news sur le web.
2 / Cependant, la presse est-elle vraiment destinée à disparaître ? Et surtout, la presse est-elle toujours le media le plus fiable ?
Le dessinateur veut représenter la condition actuelle de la presse, qui paraît un lieu abandonné, tandis que le web est devenu le principal moyen à travers lequel on peut s’informer, pour sa rapidité, son accessibilité qui, toutefois, sont souvent accompagnées par un manque de confiance envers les sources du web, à cause de la diffusion de fake news sur le web.
2 / Cependant, la presse est-elle vraiment destinée à disparaître ? Et surtout, la presse est-elle toujours le media le plus fiable ?
En effet, des sondages révèlent que la plupart des gens lisent les journaux, même s’ils les lisent en format numérique ; toutefois, ce sont surtout les jeunes qui ont développé un haut niveau de défiance envers la presse traditionnelle, comme elle n’est pas seulement considérée arriérée mais aussi incomplète et non objective, soumise aux états et aux gouvernements, une chose qui est absolument contraire aux principes de la presse, qui devrait être le Quatrième pouvoir. D'ailleurs, est-il vraiment possible de tout raconter ? Logiquement, CE n’est pas possible, mais les chiffres parlent d’eux-mêmes ; le public est sceptique et la manipulation des informations lui apparait de plus en plus évident.
Pour ces raisons, la population tend à s’appuyer surtout aux réseaux sociaux, des lieux sans filtres, infinis et sans trop de règles mais qui cachent, précisément pour leur nature indomptable, des pièges très dangereux : les fake news. Quand la diffusion des fake news commence, il n’est pas facile de l’arrêter. De plus, le manque de filtres permet la prolifération de fausses nouvelles et, étant donné que les sites en ligne et les réseaux sociaux sont gérés par de petits groupEs qui sont extrêmement riches, l’objectivité est encore menacée. À titre d’exemple, le propriétaire de Meta, Mark Zuckerberg et le propriétaire de Twitter, Elon Musk, ont été très critiqués pour les limitations imposées, sur leurs réseaux sociaux, aux “creators”> CREATEURS qui s’occupent de la sensibilisation sur les thématiques comme la communauté LGBT, le féminisme, la lutte contre le racisme, la question de la Palestine ; en même temps, les idées racistes, misogynes et, souvent, les idéologies nazi-fascistes ne subissent aucun blocage et, malheureusement, il sont souvent diffusés par les médias mêmes à travers la publicité qui envahit le feed des utilisateurs. D'un côté, ces actions sont justifiées à travers l’idée de la “liberté d’expression” ; de l'autre côté, il est plutôt évident qu’il y a un problème d’incohérence, puisqu'une liberté sans obstacles représente une limitation de la liberté des autres. Mais donc, est-ce que le public a encore un point de référence pour s’informer ?
À mon avis, il faut que tout le monde comprenne que la baisse des ventes des journaux de papier ne symbolise pas la mort ou l’abandon de la presse en général ; l’utilisation du web pour s’informer sur ce qui se passe dans le globe est une évolution naturelle de la presse même, liée à une évolution technologique constante et, en même temps, à une conscience écologique majeure, pour laquelle l’achat journalier d’un journal de papier ne représente pas seulement une dépense superflue mais aussi un gaspillage de papier inutile. Le processus de contrôle des nouvelles fausses se trouve encore dans une phase primordiale ; donc, il faut que l’industrie de la presse progresse dans ce processus, en garantissant une transparence totale pour regagner la confiance de ses lecteurs, en acceptant aussi que ce but doit être accompli à travers le web et à travers une amélioration des conditions de travail des journalistes professionnels, en donnant aussi plus d’espace aux jeunes.
Pour ces raisons, la population tend à s’appuyer surtout aux réseaux sociaux, des lieux sans filtres, infinis et sans trop de règles mais qui cachent, précisément pour leur nature indomptable, des pièges très dangereux : les fake news. Quand la diffusion des fake news commence, il n’est pas facile de l’arrêter. De plus, le manque de filtres permet la prolifération de fausses nouvelles et, étant donné que les sites en ligne et les réseaux sociaux sont gérés par de petits groupEs qui sont extrêmement riches, l’objectivité est encore menacée. À titre d’exemple, le propriétaire de Meta, Mark Zuckerberg et le propriétaire de Twitter, Elon Musk, ont été très critiqués pour les limitations imposées, sur leurs réseaux sociaux, aux “creators”> CREATEURS qui s’occupent de la sensibilisation sur les thématiques comme la communauté LGBT, le féminisme, la lutte contre le racisme, la question de la Palestine ; en même temps, les idées racistes, misogynes et, souvent, les idéologies nazi-fascistes ne subissent aucun blocage et, malheureusement, il sont souvent diffusés par les médias mêmes à travers la publicité qui envahit le feed des utilisateurs. D'un côté, ces actions sont justifiées à travers l’idée de la “liberté d’expression” ; de l'autre côté, il est plutôt évident qu’il y a un problème d’incohérence, puisqu'une liberté sans obstacles représente une limitation de la liberté des autres. Mais donc, est-ce que le public a encore un point de référence pour s’informer ?
À mon avis, il faut que tout le monde comprenne que la baisse des ventes des journaux de papier ne symbolise pas la mort ou l’abandon de la presse en général ; l’utilisation du web pour s’informer sur ce qui se passe dans le globe est une évolution naturelle de la presse même, liée à une évolution technologique constante et, en même temps, à une conscience écologique majeure, pour laquelle l’achat journalier d’un journal de papier ne représente pas seulement une dépense superflue mais aussi un gaspillage de papier inutile. Le processus de contrôle des nouvelles fausses se trouve encore dans une phase primordiale ; donc, il faut que l’industrie de la presse progresse dans ce processus, en garantissant une transparence totale pour regagner la confiance de ses lecteurs, en acceptant aussi que ce but doit être accompli à travers le web et à travers une amélioration des conditions de travail des journalistes professionnels, en donnant aussi plus d’espace aux jeunes.
(Modifié par Marie Senger. Écrit initialement le dimanche 30 mars 2025, 15:30)
60 minutes
> 10 - 15 minutes de reflexion > BROUILLON
description : LISTE des mots / elements / persos > IMPORTANT à decrire > 3 min
PROBLEMATIQUE : 3 min > POSER LA QUESTION QUI POSE LE PROBLEME / SUJET D'ACTUALITé lié au theme> med _ temps- amour - FRANCE ?
ARGUMENTATION > 5 min -> pour / contre / opinion
45 min > mettre au propre > REDIGER
DESCRIPTION (introduction) >15 min
(sources) Il s’agit d’un dessin de presse en couleur dont on ne connait ni le titre ni la date, mais on peut voir la signature de l’illustrateur en bas à droite, « AURA ».
Au premier plan, on remarque une seule personne assise à son bureau au centre d’une salle vide et sombre. Autour de lui il n’y a que quelques feuilles de papier éparpillé+es sur le sol. En effet, ce lieu donne l’impression d’être une salle de presse, également montré par l’écriture en gros caractères sur le mur, c’est-à-dire « LE JOURNAL ».
Au contraire, à l'arrière-plan, on aperçoit une autre salle plus lumineuse avec beaucoup plus de personnes qui ont l’air de s’amuser ensemble. Cette pièce est séparée de l’autre par un mur où on lit le mot « WEB » -
Pour conclure, le décalage entre les 2 parties du dessin est renforcé par la question de l’homme qui dit « Y a quelqu’un ? », à travers laquelle l’auteur veut probablement symboliser la différence entre le déclin / la perte de vitesse de la presse et l’essor / le developpement / la prise d'ampleur de la presse sur le web / le net - la toile / internet . .
20-25 minutes> arg ->>>> AU MINIMUM 5 min pour RELECTURE
PROBLEMATIQUE :
Cette image met donc en évidence le thème des médias et de leur développement dans la société actuelle, où le web s’est répandu + ,,très rapidement // A PRIS BEAUCOUP D'AMPLEUR,,,, particulièrement > EN PARTICULIER CES dernières années / récemment /// dernièrement.
Mais, le monde d’Internet a-t-il vraiment remplacé la presse ?
Mais, le monde d’Internet a-t-il vraiment remplacé la presse ?
En premier lieu, il faut remarquer que tous ->>> deux ont apporté des changements positifs dans la société. Par exemple, dans le cas de la presse, cette dernière a été inventé au XV siècle et à cette époque-là a permis de diffuser les informations et les nouvelles bien plus rapidement que l’écriture manuscrite. C’est pourquoi on dispose de nombreux témoignages des événements du passé.
De même, avec la naissance du web AU XX siècle, on a pu faire un pas en avant en connectant tout le monde et en divulguant les informations à l’instant à tous.
Donc, d’un côté, ces deux médias ont une histoire très similaire mais, d’un autre côté, beaucoup de spécialistes soutiennent qu’ils ne sont pas compatibles et que le secteur de la presse est en crise.
En effet, les sondages démontrent qu’un pourcentage élevé de personnes préfèrent se tenir au courant des dernières nouvelles en faisant des recherches en ligne au lieu d’acheter un journal parce que cela leur permet d’économiser du temps et de l’argent. Par conséquent, on voit de nombreux kiosques à journaux fermer boutique // mettre la clé sous la porte // ont fait faillite .
De même, avec la naissance du web AU XX siècle, on a pu faire un pas en avant en connectant tout le monde et en divulguant les informations à l’instant à tous.
Donc, d’un côté, ces deux médias ont une histoire très similaire mais, d’un autre côté, beaucoup de spécialistes soutiennent qu’ils ne sont pas compatibles et que le secteur de la presse est en crise.
En effet, les sondages démontrent qu’un pourcentage élevé de personnes préfèrent se tenir au courant des dernières nouvelles en faisant des recherches en ligne au lieu d’acheter un journal parce que cela leur permet d’économiser du temps et de l’argent. Par conséquent, on voit de nombreux kiosques à journaux fermer boutique // mettre la clé sous la porte // ont fait faillite .
Alors, pour faire face à ce problème, à mon avis il faut chercher des solutions rapides et efficaces.
À titre d’exemple, ce qui me semble important, c’est premièrement de rapprocher les jeunes de la presse, en distribuant des journaux gratuits à l’école et en leur donnant les instruments pour les analyser.
À titre d’exemple, ce qui me semble important, c’est premièrement de rapprocher les jeunes de la presse, en distribuant des journaux gratuits à l’école et en leur donnant les instruments pour les analyser.
En second lieu, je crois que la presse et le web peuvent s’intégrer à travers la publication de ces mêmes articles en version numérique. En effet, beaucoup de journaux historiques comme Le Figaro et le Monde ont créé------ un site web et même un profil social sur Instagram.
les toiles créé+e+s par cette artiste.
avis perso >
Pour conclure, +++ PERSO je trouve donc qu’on ne doit pas choisir entre la presse et le web, mais il faut sauvegarder tous deux et surtout apprendre à les utiliser pour ne pas tomber dans le piège des « fake news ».
++ ON
(Modifié par Marie Senger. Écrit initialement le dimanche 30 mars 2025, 19:11)
COHESION de votre priduction
- 3 paragraphes = 3 CONNECTEURS = 3 espaces entre vos 3 paragraphes -> pour / contre / conclusion> AVIS PERSONNEL
partie >+ CONNECTEUR + pour ------
xxx
partie > contre
xxx
conclusion
- 3 paragraphes = 3 CONNECTEURS = 3 espaces entre vos 3 paragraphes -> pour / contre / conclusion> AVIS PERSONNEL
partie >+ CONNECTEUR + pour ------
xxx
partie > contre
xxx
conclusion
In riposta a Marie Senger
Ri: Description et argumentation DESSIN DE PRESSE
di Serena Scognamiglio -
Il s’agit d’un dessin de presse en couleur dont on ne connait ni le titre ni la date, mais on peut voir la signature de l’illustrateur en bas à droite, « AURA ». Au premier plan, on remarque une seule personne assise à son bureau au centre d’une salle vide et sombre. Autour de lui il n’y a que quelques feuilles de papier éparpillés sur le sol. En effet, ce lieu donne l’impression d’être une salle de presse, également montré par l’écriture en gros caractères sur le mur, c’est-à-dire « LE JOURNAL ». Au contraire, à l'arrière-plan, on aperçoit une autre salle plus lumineuse avec beaucoup plus de personnes qui ont l’air de s’amuser ensemble. Cette pièce est séparée de l’autre par un mur où on lit le mot « WEB ». Le décalage entre les 2 parties du dessin est renforcé par la question de l’homme qui dit « Y a quelqu’un ? », à travers laquelle l’auteur veut probablement symboliser la différence entre le déclin de la presse et l’essor du web.
La presse est-elle vraiment destinée à disparaître ?
Depuis l'essor du numérique, la presse traditionnelle fait face à des défis majeurs qui remettent en question son avenir. Les journaux imprimés voient leur lectorat diminuer tandis que les plateformes en ligne gagnent en popularité. Faut-il alors en conclure que la presse est vouée à disparaître ? Rien n'est moins sûr.
D'une part, l'accès immédiat à l'information par le biais d'Internet a bouleversé les habitudes de consommation. Les lecteurs préfèrent souvent les articles gratuits disponibles en ligne aux journaux payants. De plus, les réseaux sociaux jouent un rôle clé dans la diffusion de l'information, bien que cette dernière ne soit pas toujours fiable. Face à cette évolution, de nombreux médias ont dû s'adapter en proposant des éditions numériques ou des abonnements en ligne.
D'autre part, la presse ne se limite pas à son format papier. Le journalisme d'investigation, la qualité des analyses et la vérification des sources restent essentiels dans une société où la désinformation prolifère. Certains médias ont réussi à réinventer leur modèle économique en s'appuyant sur des abonnements numériques ou des aides à la presse. De plus, une partie du public demeure attachée au format papier, notamment pour des magazines spécialisés ou des journaux de référence.
En conclusion, la presse traditionnelle doit s'adapter aux nouvelles technologies pour survivre, mais elle n'est pas destinée à disparaître complètement. Son avenir repose sur sa capacité à innover tout en préservant la rigueur et l'indépendance journalistique qui font sa force.
La presse est-elle vraiment destinée à disparaître ?
Depuis l'essor du numérique, la presse traditionnelle fait face à des défis majeurs qui remettent en question son avenir. Les journaux imprimés voient leur lectorat diminuer tandis que les plateformes en ligne gagnent en popularité. Faut-il alors en conclure que la presse est vouée à disparaître ? Rien n'est moins sûr.
D'une part, l'accès immédiat à l'information par le biais d'Internet a bouleversé les habitudes de consommation. Les lecteurs préfèrent souvent les articles gratuits disponibles en ligne aux journaux payants. De plus, les réseaux sociaux jouent un rôle clé dans la diffusion de l'information, bien que cette dernière ne soit pas toujours fiable. Face à cette évolution, de nombreux médias ont dû s'adapter en proposant des éditions numériques ou des abonnements en ligne.
D'autre part, la presse ne se limite pas à son format papier. Le journalisme d'investigation, la qualité des analyses et la vérification des sources restent essentiels dans une société où la désinformation prolifère. Certains médias ont réussi à réinventer leur modèle économique en s'appuyant sur des abonnements numériques ou des aides à la presse. De plus, une partie du public demeure attachée au format papier, notamment pour des magazines spécialisés ou des journaux de référence.
En conclusion, la presse traditionnelle doit s'adapter aux nouvelles technologies pour survivre, mais elle n'est pas destinée à disparaître complètement. Son avenir repose sur sa capacité à innover tout en préservant la rigueur et l'indépendance journalistique qui font sa force.
In riposta a Serena Scognamiglio
Ri: Description et argumentation DESSIN DE PRESSE
di Serena Scognamiglio -
Cette image est une illustration satirique qui met en scène un dessinateur ou un journaliste travaillant seul dans un espace sombre et déserté, intitulé "LE JOURNAL". Il est assis sur un tabouret à un bureau minimaliste, éclairé seulement par une petite lampe, qui projette une lumière faible sur son travail. L’ambiance est morose : des feuilles de papier et des détritus : déchets jonchent = couvrent > éparpillés sur le sol, renforçant l'idée d'abandon et d'isolement. Le personnage, visiblement : APPAREMMENT en détresse, lève la tête et demande "Y A QUELQU’UN ?", exprimant ainsi un sentiment de solitude et de désespoir. Au contraire, ce qui est frappant, à droite de l'image, c'est un bâtiment moderne et lumineux avec l'inscription "WEB", à l'intérieur duquel une foule animée est rassemblée sous des lumières vives et colorées. Cette partie de l’illustration symbolise un monde dynamique et attractif, opposé au journalisme traditionnel en déclin.
L’ensemble de l’image critique de manière visuelle le déplacement de l’attention du public et des ressources du journalisme écrit vers le monde numérique et les plateformes en ligne. Elle met en évidence la solitude des professionnels de la presse face à une transition médiatique qui les marginalise.
L’ensemble de l’image critique de manière visuelle le déplacement de l’attention du public et des ressources du journalisme écrit vers le monde numérique et les plateformes en ligne. Elle met en évidence la solitude des professionnels de la presse face à une transition médiatique qui les marginalise.
2/ problématique > question INDIRECTE / directe :
-> Suite à cette description.... Voilà pourquoi je voudraiS demander si la presse est vraiment destinée à disparaître.
-> la presse PAPIER est-elle vraiment destinée à disparaitre + AU PROFIT DE LA PRESSE NUMERIQUE ?
Depuis l'essor du numérique, la presse traditionnelle fait face à des défis majeurs qui remettent en question son avenir. Les journaux imprimés voient leur lectorat diminuer tandis que les plateformes en ligne gagnent en popularité. Faut-il alors en conclure que la presse est vouée à disparaître ? Rien n'est moins sûr.
D'une part // d'un coté , l'accès immédiat à l'information par le biais d' >> à travers Internet a bouleversé les habitudes de consommation. Les lecteurs préfèrent souvent les articles gratuits disponibles en ligne aux journaux payants. De plus, les réseaux sociaux jouent un rôle clé dans la diffusion de l'information, bien que cette dernière ne soit pas toujours fiable. Face à cette évolution, de nombreux médias ont dû s'adapter en proposant des éditions numériques ou des abonnements en ligne.
D'autre part / d'un autre coté, la presse ne se limite pas à son format papier. Le journalisme d'investigation, la qualité des analyses et la vérification des sources restent essentiels dans une société où la désinformation prolifère. Certains médias ont réussi à réinventer leur modèle économique en s'appuyant sur > en INVESTISSANT (investir) des abonnements numériques ou des aides à la presse. De plus, une partie du public demeure attachée au format papier, notamment pour des magazines spécialisés ou des journaux de référence.
En conclusion, je crois personnellement la presse traditionnelle doit s'adapter aux nouvelles technologies pour survivre, mais elle n'est pas destinée à disparaître complètement. Son avenir repose sur sa capacité à innover tout en préservant la rigueur et l'indépendance journalistique qui font sa force.
(Modifié par Marie Senger. Écrit initialement le lundi 31 mars 2025, 18:08)
Tout d’abord, on peut voir que l’image présentée est un dessin de presse. Le fond est gris et seulement une partie de l’image est noire. En bas à droite, on trouve la signature de l’auteur ‘Aura’. Au premier plan, il y a un homme assis à son bureau, au-dessus de lui apparaît une bulle qui dit ‘Y a Quelqu’un?’, à sa gauche il y a une inscription ‘Le Journal’ et par terre on voit des feuilles. Au second plan, devant lui, il y a un balcon avec des personnes et une inscription lumineuse ‘Web’.
À travers cette image, l’auteur veut montrer la crise que le journal est en train de subir, puisqu’il a été remplacé par le web. En effet, on peut voir ‘le journal’ et ‘le web’ comme deux parties opposées, dont la partie ‘le journal’ est assombrie, donc cela pourrait représenter sa disparition, par rapport à la partie ‘web’ qui est illuminée, la lumière pourrait représenter sa naissance et son développement auprès des gens > d'un nouveau public /// de nouveaux lecteurs .
2/ Est-il vraiment possible que la presse écrite SOIT en train de disparaître? Peut-elle être complètement remplacée par le web?
-> y répondre dans l'argumentation
Le mot ‘journal’ est synonyme de ‘presse écrite’, en effet quand on pense à ce mot, on s’imagine des feuilles pleines d’informations qui sont analysées et commentées parfois en fonction de la position du journal (droite, gauche…), donc on peut dire qu’il s’agit d’une chose concrète, que l’on peut toucher avec les mains.
Cependant, avec l’époque numérique, surtout grâce aux nouveaux outils technologiques (smartphones, tablettes…) et aux plateformes en ligne, la façon d’accéder et consommer les informations a changé, par exemple les personnes peuvent lire toutes les nouvelles en temps réel et partout, chacun peut faire référence à des sources différentes, peut choisir un contenu personnalisé et adapté à ses préférences. Dans ce cas, on pourrait affirmer qu’on est témoin de la ‘numérisation des journaux’, puisqu’on assiste au passage du journal papier aux plateformes numérique, cette transition, joue en rôle important dans la société d’aujourd’hui pour le journal, parce qu’il peut arriver à interagir avec un public plus vaste. MAIS moi la presse écrite est indispensable parce qu’elle permet de bénéficier des informations fiables fournies par des journalistes, contrairement aux informations QUI (non qu'): remplace le sujet = sujet + verbe /QUE = remplace le complement+ SUJET -> qu'on repère sur le Web, on a des doutes pour ce qui concerne leur crédibilité et la fiabilité des contenus, en effet comme on peut voir dans l’image, l’homme, qui se trouve dans un contexte désolé, il est le seul à croire encore dans > EN l’importance de la presse écrite et il se demande s’il reste encore quelqu’un qui comme lui y croit, mais devant lui il y a seulement des personnes homologuées et connectées à un nouveau monde, celui du Web.
Le web est en train de désintégrer progressivement la presse écrite, il est devenu rapidement un puissant outil de communication, de diffusion des informations et de journalisme. Au même temps > EN meme temps, on pourrait affirmer qu’à travers les plateformes en ligne, tout le monde est devenu éditeur en remplaçant la place des journalistes, mais cela a généré des inquiétudes qui concernent la désinformation causée par des fausses nouvelles qui circulent sur le web, il faut se méfier, mais CELA > ça n’est pas simple, il pourrait arriver à n’importe qui de tomber dans le piège d’une fausse nouvelle, il y a des moyens afin de l’éviter, par exemple il faut toujours vérifier l’existence et la fiabilité de la source, de plus on doit contrôler s’il y a des fautes dans l’article publié sur la plateforme en ligne.
En conclusion, >>> résumé + avis + bonus OUVERTURE > solutions
Néanmoins, il faut reconnaître que l’évolution de la technologie chez > dans / en ce qui concerne les journaux est un changement irréversible, ces derniers devront s’adapter de plus en plus aux progrès technologiques pour ne pas risquer de disparaître dans un monde complètement numérique, au-delà des défis que le journal doit affronter pour ‘rester en vie’, il y a aussi beaucoup d’opportunités, il peut exploiter toute la puissance de la technologie, par exemple en créant ses propres applications à télécharger sur tous les outils technologiques, il peut y publier les articles et les nouvelles du jour = , en restant le moyen d’information, d’éducation et d’inspiration le plus important du monde pour ses lecteurs.
(Modifié par Marie Senger. Écrit initialement le mardi 1 avril 2025, 11:25)
L'image proposée est un dessin de presse fait par “Aura”, dont la signature se trouve en bas à droite. Le dessin peut-être divisée en deux parties. Au fond du dessin on peut observer un édifice sur lequel on lit le mot "WEB", écrit en gros caractères et entièrement illuminé. Au-dessus de l'établissement, on voit un balcon toujours bien éclairé par DE petites lumières où il y a beaucoup de personnes. Les notes musicales, qui sortent d'un haut-parleur situé sur le balcon, donnent l'idée que les gens sont en train d'écouter de la musique, comme dans un fête. Par contre, AU premier plan, il y a un homme qui écrit sur un papier mais il est entouré par l'obscurité sauf une petite lampe allumée sur le bureau où l'homme travaille. MALGRé le manque d'une forte luminosité, c'est possible lire le mot "Journal" sur le mur et observer ->>>> plusieurs papiers jetés au sol. De plus, la solitude de l'homme est mise en evidence aussi par la bulle qui dit: "Y a quelqu'un?". Celle-ci est la clé pour comprendre l'intention de l'auteUr, qui a choisi cette représentation pour décrire une thématique des nos jours, c'est à dire l'abandon des journaux papiers comme source d'information au bénéfice d'Internet. En effet, plusieurs personnes choisissent d'utiliser le Web pour s'informer, donc les éditeurs ont decidé de ne faire plus sortir les journaux papiers, ou au moins d'en réaliser quelques-uns.
Mais c'est vraiment la fin de l'EDITION sous forme de papier?.
++ est-ce vraiment
Selon leS données la réponse semble être "oui" et y il y a plusieurs raisons. Tout d'abord on passe beaucoup de temps sur les portables, en surfant sur Internet, où on est bombardé d'informations, peu importe si elles sont vraies ou fausseS. Ensuite, le web est plus attractif grace à ses images, couleurs et écrits qui stimulent nos sens de manière très efficace. Encore >> EN OUTRE/ de plus, les sites Internet offrent un service gratuit et sourtout rapide, facteur fOndamental aujourd'hui. Cet enjeu... = cette problématique concerne tout le monde et non pas seulemt les jeunes comment nous démontrent les commentAIRES sur les réseaux sociaux, par exemple. Également, le secteur des livres est en train de faire face à ce problème parce que les gens achètent de plus en plus les e-books, c'est à dire DES livres en format numérique et il est facile de comprEndre la raison: c'est possibile les emmener partout eT les lire à tout moment. Un exEmple, peut-être le "Kindle" disponible en Amazon. UNE utre raison pour privilégier le format numérique est la protection de l'environnement, parce qu’en réduisant la production de livres imprimés on réduit le déboisement. Le renouvellement tEchnologique a désormais inondé nos vies en changeant tous les habitudes, même s'il ya des personne qui tentent de résister à la force de ce cyclone. Sa rapidité et la sensation d'impossibilité de l’arrêter produit UN effet inverse sur beaucoup de personnes et ça n'est pas une chose à ignorer car c'est vrai aussi qu'on devrait utiliser les tEchnologie avec intelligence et pour améliorer la vie de tous, mais ce n'est pas toujours le cas.
POUr conclure, les avantages du web sont SUREMENT très évidents et les nier est simplement contre-productif, mais il est clair aussi qu'il faut travailler sur l'esprit critique. En effet, les technologie sont une vraiE resource pour la société mais elles ne doivent pas être utiliséeS passivement, par exemple quand on lit des nouvelles sur Internet c'est important DE vérifer d'où elle viennent. On a besoin de campagnes et activités qui ont comme but la volonté de faire bien utiliser les fruits du progrès.
(Modifié par Marie Senger. Écrit initialement le mardi 1 avril 2025, 21:31)
Il s’agit d’un dessin de presse dont on ne connaît ni l’auteur ni la date de publication. Ce dessin ne présente pas de titre, mais on peut lire les mots "Le journal" et "Web" qui font écho > référence au champ lexical de la presse. Le dessin se compose de deux parties.
Au premier plan, où se trouve le mot "Le journal", on peut remarquer un homme tout seul qui a l'air inquiet. Ce dernier se trouve jusqu'au> AU centre du dessin, et il pose la question "Y a quelqu'un?".
Le deuxième plan est situé devant l'homme, et on peut remarquer qu'il y a une scène sur laquelle se trouvent plusieurs personnes. On peut aussi souligner la présence du mot "Web" et des notes musicales contenues dans une bulle. Les couleurs dominantes dans le dessin sont le BLEU, le gris et le jaune. CeTTE dernière est la pierre angulaire de l'image: il est essentiel de montrer la differénce de luminosité DE LA COUleur jaune. Le premier plan présente une lumière très faible, contrairement à la lumière du deuxième plan qui est plus forte.
2/ Tout ça> CELA semble illustrer la différence d'impact entre le journal et le web. Donc, est-il vraiment possible que le web remplace le journal?
Tout d'abord, il est crucial de considérer le rôle de la globalisation ->>> ces dernières années. C'est à cause de ça> CELA que le web semble remplacer le journal, car il est plus immédiat QUE la presse. En effet, toutes les nouvelles voyagent à une rapidité très vite, et ça permet aux internautes de toujours être informés. Des données ont demontré que xxx plusieurs xx ->>>> personnes préfèrent utiliser le web. À titre d'exemple, s'ils veulent chercher des nouvelles concernant un sujet politique récent, ils utilisent le web pour lire toutes les infos. Il faut souligner qu'ils ont aussi la possibilité de rechercher des informations sur le profil vérifié du politicien même. Il est alors clair > il semble que les personnes ne SONT> ne soient pas prêtes à sortir de la maison pour acheter un journal.
En second lieu / d'autre part, il est aussi nécessaire d'adopter une autre perspective. Le web est un lieu beaucoup dangereux, où c'est difficile de distinguer le vrai du faux. Le web présente une quantité énorme d'informations, et c'est donc possible de rencontrer de fausses nouvelles. Pour cette raison, les internautes doivent être capables de choisir leurs sources, en méfiant > EN SE MEFIANT des infos qui ne présentent pas d'auteur ou de coche bleu.... Il faut ajouter que plusieurs personnes ont du mal à utiliser le web et les réseaux sociaux, raison pour laquelle il est vraiment facile de croire aux infox.
ENFIN, pour répondre à la question initiale, il est probable que le web remplace la presse, mais, d'après moi/selon moi, CELA prendra du temps. Pendant ce temps, il faut améliorer la presse pour bloquer son extinction. Je dénonce le manque d'interêt DES politiciens à aider les journalistes, car ils même préfèrent utiliser le web pour gagner de l’argent et aussi de visibilité. En somme, le journal a encore la possibilité de survivre, mais cela demande beaucoup d’améliorations. Je terminerai en disant que ça dépend de chacun d’entre nous, et qu’il faut lutter pour sauvegarder le destin de la presse.
->> ALLONS acheter le journal et télécharger les applications du Monde sur nos telephones !
(Modifié par Marie Senger. Écrit initialement le mercredi 2 avril 2025, 17:07)
1/
Dans cette illustration + AUTEUR / DATE / NOM DU JOURNAL > où ne voit ni le nom de ---- le titre.....
On remarque deux plans dans l'organisation de l'image : l'iomage contient deux parties. EN EFFET, il y a le plan inférieur où l'on observe au milieu d'un espace béant et vide un seul journaliste assis devant sa table de travail, mais, inversement à son corps, il a l'expression tournée à l'encontre des spectateurs > il est DOS aux possibles lecteurs > à ceux qui observent / regardent la vignette mais son REGARD est tourné VERS eux (
personnes qui se trouvent hors de l'illustration, à savoir tous ceux qui se rapprochent de cette thématique du dehors))
>>> sujet verbe compl
De même, il est allumé uniquement par l'éclairage d'une lampe et il est accompagné, derrière de lui, d'un affichage montrant l'expression "le journal". Néanmois, DEVANT -> lui on observe une plateforme> UNE TERRASSE indiquant le web, peuplée au contraire DE beaucoup de gens.
3/ De même façon que la représentation, il est important, notamment ces derniers temps, aue l'on se questionne sur la manière privilégiée que les personnes emploient pour s'informer. EN EFFET,c ompte tenu du fait que la survenue totalement envahissante des réseaux sociaux Apresque remplacé les journaux comme moyen d'information. Voilà poUrquoi LE REPRAGE est devenu plus compliqué,en ligne, de nouvelles adéquatement vérifiées, en raison de la question que les réseaux sociaux n'imposent pas le même contrôle des sources demandéES par la rédaction d'articles de journaux. On pourrait avoir beaucoup de problèmes à l'issu de ce changement, étant donné que les informations répandues sans qu'il y ait une vérification soignée peuvent intoxiquer la narration de l'actualité destinée aux lecteurs.
EN CONCLUSION, c'est donc un GRAND défi pour les utilisateurs de constater la fiabilité des informations en ligne, mais malgré cela, il constitue à coup sûr, un premier pas afin d'entraver et freiner la circulation d'infox, lesauelles sont généralement diffusées par leurs partisans, dans la seule intention d'homologuer les consciences des lecteurs pour en tirer un gain économique ou politique.
(Modifié par Marie Senger. Écrit initialement le mercredi 2 avril 2025, 21:34)