A FAIRE : Description + argumentation : Culture du viol > Liberte égalité fraternité

A FAIRE : Description + argumentation : Culture du viol > Liberte égalité fraternité

di Marie Senger -
Numero di risposte: 4
In riposta a Marie Senger

Re: Description Culture du viol > Liberte egalité fraternité

di Marie Senger -
Liste des elements à décrire
- RUE / harcelement de rue
- 5 personnes dans l'image > premier plan 2 femmes - JEUNES FEMMES -> entourées - encerclées des deux cotés > malaise
- signature du caricaturiste en bas à droite
- 2 femmes effrayées
- plusieurs types de violences> BULLES : un dialogue entre les 2 hommes -> physique / racisme : focus sur les femmes + le troisieme qui se refere aux comprotements des hommes > violence verbale : des insultes / des GROS MOTS
- les fesses / le derrière / le postérieur et les seins / la poitrine
- 2 phrases énoncées par les femmes dénoncer la culture du viol et INCITER à agir : IL FAUT remplacer > IMPERATIF / obilgation --- opposition VIOL & RESPECT ->>> CULTURE
-

2. PROBLEMATIQUE :
> est-ce que le changement de mentalité est suffisant pour supprimer la culture du viol ? // Comment changer les mentalités pour espérer éliminer la culture du viol ?

> est-il vraiment possible d'imaginer une société sans violences contre les femmes ? Comment y arriver ?

> De nos jours, est-ce que l'etat / société fait assez pour déconstruire la culture du viol - le patriarcat ?

>> Dans le FUTUR / l'avenir, sera-t-il possible de penser vivre dans une société construite sur le respect PARMI tout le monde ?
In riposta a Marie Senger

Ri: Re: Description Culture du viol > Liberte egalité fraternité

di Serena Scognamiglio -
> sources 
1/ Il s’agit d’une caricature en couleurs //// NOIR ET BLANC, signée (PAR ) "Bridenne" (ou "Bridouot", selon l’interprétation de la signature), dans un style humoristique et satirique. La scène se déroule sur un fond bleu dégradé sans détails concrets > précis de décor — ce qui suggère un lieu public, une rue par exemple, mais de manière abstraite.

 On voit six personnages qui marchent, les femmes sont ENCERCLées et à gauche et à droite. Tous sont en mouvement, entourés de traits qui symbolisent la tension, l’agitation, LA CONFUSION ou l’émotion forte (traits tremblants, gouttes de sueur…). 
À gauce> PREMIER PLAN, il y a DEUX FEMMES QUI sembleny être celui des personnes engagées dans lutte féministe, elles sont révoltées contre l'injustice qu'elles sont en TRAIN DE VIVRE. en effet,  Il y a un homme noir qui marche avec la langue pendante et une expression choquée : IL EST ABSORBé PAR LES FESSSES/LE DERRIERE. Il semble pris de court ou stupéfait : ; une femme noire avec un béret noir et des lunettes qu'a> QUI a  l’air très sérieuse et déterminée, elle fronce les sourcils : ++++ avoir l'air < elle a l'air terrorisée ; une femme blanche aux cheveux longs et roux > elle est rousse : elle porte un haut rose et une jupe noire. Elle a l’air très inquiète ou apeurée et un jeune homme blanc avec un sac à dos bleu clair qui a l’air détendu, il siffle ou fredonne (illustré par une note de musique dans une bulle). Il semble indifférent à ce qui se passe autour. Au-dessus du groupe il y a deux bulles de dialogue, provenant probablement des femmes, qui recitent > crient / hurlent / DENONCENT : "LA CULTURE DU VIOL EST PARTOUT !" et "IL FAUT LA REMPLACER PAR LA CULTURE DU RESPECT ! ". À droite on a deux hommes: le premier fait un doigt d'honneur: il crie avec expression agressive. Il tient un téléphone dans la main. Au-dessus de sa tête, une bulle montre des symboles typiques de la censure (tête de mort, spirale, cochon), indiquant qu’il profère des insultes ou DES propos vulgaires. Le deuxième n'a pas de bulle de texte, mais il regarde vers le groupe avec un air en colère. Il est également inclus dans la critique.

Cette caricature dénonce la culture du viol — une réalité dénoncée par les mouvements féministes — en montrant, d’un côté, des femmes et un homme passif qui réclament plus de respect et dénoncent un système violent et sexiste; de l’autre, des hommes agressifs qui réagissent avec vulgarité, insultes et gestes obscènes — symboles de cette culture sexiste et de l’impunité qui l’accompagne. Le garçon qui siffle symbolise peut-être l’indifférence ou la banalisation : il n’est ni hostile ni engagé, ce qui peut être vu comme une autre forme de problème qui consiste de ne pas prendre position face à l’injustice.

60 minutes 
> 50 min -> 10 minutes de RELECTURE 

15 description - >  5min analyser + LISTE de lexique >> 10 min au propre 
PROBLEMATIQUE > 5 minutes > LA question principale de l'argymention ->> y répondre  
35 min argumentation : 10 min PLAN -> intro paragraphe 1 - 2 - conclusion  


2/ Après avoir décrit cette image, il faut poser une question: Est-ce que le changement de mentalité est suffisant pour supprimer la culture du viol ? Comment changer les mentalités pour espérer éliminer la culture du viol ?

La culture du viol désigne un ensemble de comportements, de discours et de normes sociales qui banalisent, excusent ou minimisent les violences sexuelles, souvent au détriment des victimes. Face à ce phénomène profondément enraciné, on se demande si un simple changement de mentalité pourrait suffire pour le faire disparaître. Si ce changement est indispensable, il n’est cependant pas suffisant à lui seul. Il doit s’accompagner d’actions concrètes, de réformes et d’un engagement collectif à tous les niveaux de la société.

Tout d’abord, changer les mentalités est une condition essentielle. Les violences sexuelles s’appuient souvent sur des stéréotypes de genre, une vision patriarcale des relations et une tolérance sociale face à des comportements inacceptables. Tant que certaines personnes penseront qu’une tenue vestimentaire, un comportement ou un "malentendu" peuvent justifier une agression, la culture du viol persistera. Il est donc crucial de sensibiliser dès le plus jeune âg--e, à travers l’éducation, les médias, la culture et les réseaux sociaux. Enseigner le consentement, le respect du corps d’autrui et l’égalité entre les sexes sont des leviers > valeurs fondamentaux pour faire évoluer les mentalités.

Cependant, un changement de mentalité ne suffit pas sans un système judiciaire solide et cohérent. Trop souvent, les victimes ne sont pas crues, les agresseurs sont peu condamnés, et les procédures sont longues et traumatisantes. Il est nécessaire de former la police, les juges et les professionnels de santé pour qu’ils puissent accueillir les victimes avec sérieux, empathie et compétence. La peur du jugement ou de l’impunité doit disparaître pour encourager les dénonciations.

Enfin, les institutions, les entreprises et les lieux publics doivent également prendre leurs responsabilités. Lutter contre les violences sexistes, ce n’est pas seulement une affaire individuelle. Cela passe par des politiques de prévention, la mise en place de sanctions claires, et un climat où les comportements déplacés ne sont plus tolérés, même “pour rire”.

En conclusion, je pense que changer les mentalités est une base indispensable, mais elle doit s’inscrire dans une démarche globale : éducative, juridique, politique et sociale. Ce n’est qu’en combinant la prise de conscience collective avec des actions concrètes que l’on pourra espérer éliminer durablement la culture du viol.


10 min de prepa > ARG 

intro
xx 
tout d'abord 
>>
xx
ensuite
xx
>cependant
>>
xx
enfin
>>
xx
en conclusion.
>>> 

(Modifié par Marie Senger. Écrit initialement le lundi 5 mai 2025, 17:16)

(Modifié par Marie Senger. Écrit initialement le lundi 5 mai 2025, 17:16)

In riposta a Serena Scognamiglio

Ri: Re: Description Culture du viol > Liberte egalité fraternité

di Katia Madonna -
1) DeSCRIPTION
Il s’agit d’une caricature, dont on ne connait pas la date, mais on peut voir la signature du dessinateur en bas à droite, « Bridowot ». Le titre de l’image est probablement représenté par les affirmations des personnages dans les bulles, c’est-à-dire « la culture du viol est partout ».

Au premier plan, on remarque deux jeunes femmes qui sont en train de se promener encerclées sur tous les deux côtés par 3 hommes.
->> emotions / sentiment /
 Ceux-ci, représentés en arrière-plan, les mettent mal à l’aise en faisant des grimaces ou en les insultant. >> décrire les bulles 

-> 2 phrases qui résument cette image: 
À travers cette image, l’auteur veut donc nous faire réfléchir sur les plusieurs > différentes  formes de violence contre les femmes, un problème très répandu dans la société contemporaine.

2) PROBLÉMATIQUE
De nos jours, est-ce que la société fait assez pour déconstruire la culture du viol ?

3) ARGUMENTATION
Dans notre société, supprimer la culture du viol reste un enjeu crucial. Cela est démontré par les épisodes de harcèlement toujours plus fréquents, qui  ciblent / VISENT notamment les femmes. Ces dernières ont longtemps été des “victimes invisibles” qui n’ont pas  eu la possibilité ni de se défendre ni de recevoir de protection DE LA la société.

En effet, surtout dans le passé, beaucoup de femmes qui étaient victimes de violence ne portaient pas plainte parce que souvent personne ne les croyait.
De plus, elles n’étaient même pas protégées du point de vue législatif. C’est le cas, par exemple, de l’Italie où il existait le “délit d’honneur”, c’est-à-dire une situation où un homme était presque autorisé à tuer sa femme au cas où elle l’avait trahi et donc il devait récupérer son honneur.
xxxxx
Toutefois, au cours des dernières années, des progrès ont été réalisés. Les femmes ont pu enfin s’exprimer grâce à plusieurs organisations de lutte contre les violences faites aux femmes, qui offrent souvent > UN SOUTIEN / DE L'AIDE aux victimes du point de vue psychologique mais qui organisent aussi des manifestations pour inciter toute la société à connaître la vérité et à punir les coupables. À titre d’exemple, en France un fort soutien a été donné à Gisèle Pelicot, victime d’abus sexuels pendant presque 10 ans, dont l’histoire a choqué tout le monde.

soutenir
supporter +++ quelque chose de negatif - desagréable
xxxx
En définitive, pour répondre à la question initiale, malgré les petits progrès, malheureusement la culture du viol est encore profondément enracinée dans la société et par conséquent la lutte contre la violence doit continuer.
xxxxxx
Pour conclure, pour faire face à ce problème, ce qui me semble important, c’est avant tout que les femmes dénoncent les abus le plus vite possible et que les agresseurs soient tout de suite arrêtés.
Ensuite, j’insiste sur le fait qu’il faut faire de l’information >>> EN PARLER / EN DISCUSTER / SENSIBILISER / de la prévention et promouvoir l’égalité parmi tous> POUR TOUS, à travers, par exemple, des cours d'éducation civique à l’école, voir+e sentimentale et sexuelle.
En ce qui me concerne, je crois que la mentalité de notre société peut donc changer seulement si nous tous faisons de notre mieux pour diffuser la culture du respect partout.

(Modifié par Marie Senger. Écrit initialement le lundi 5 mai 2025, 17:21)

In riposta a Marie Senger

Ri: A FAIRE : Description + argumentation : Culture du viol > Liberte égalité fraternité

di Martina squitieri -
Tout d’abord, on peut voir que l’image présentée est une caricature faite en différentes couleurs. En bas à droite, on peut lire la signature du caricaturiste ‘Bridouot’. Cinq personnages sont représentées dans l’image, au premier plan, il y a deux jeunes femmes qui sont entourées des deux côtés par trois garçons qui les harcèlent et les mettent mal à l’aise. Sur chaque personnage il y a des bulles, celles sur la tête des hommes font référence à des dialogues sexistes et racistes, au contraire celles sur la tête des femmes mettent en évidence une problématique actuelle, c’est-à-dire ‘la culture du viol’.

À travers cette caricature et surtout les dialogues des deux femmes, le caricaturiste veut s’engager à dénoncer la violence sous toutes se formes, qui est en train de se répandre de plus en plus dans la société contemporaine, et il incite à agir avec ‘la culture du respect’.

Est-il vraiment possible d’imaginer une société sans violences contre les femmes? Comment y arriver?

Dans la société d’aujourd’hui, l’expression ‘culture du viol’ fait penser que la violence est considérée comme la norme, qu’elle trouve des justifications, des excuses, donc elle est presque acceptée ou normalisée.

On vit dans un contexte social où l’on n’éduque pas aux gens de ne pas violer, mais plutôt de ne pas se faire violer, on arrive à culpabiliser la victime, en effet lorsqu’une femme est victime de violence, la responsabilité du crime pèse sur elle, en particulier sur ses vêtements et son apparence, par exemple, au moment de la violence la femme se promenait seule le soir et était habillée d’une certaine manière, il y a des personnes qui arrivent à affirmer ‘qu’elle l’a bien cherché’.

La violence envers les femmes est une des violations des droits de l’homme, en effet les Nations-Unies ont proclamé le 25 novembre ‘Journée internationale pour l’élimination de la violence envers les femmes’, pendant cette journée, les gens, et en particulier les femmes, organisent des manifestations pour défendre les droits des femmes, mais cela ne suffit pas à arrêter la violence, car chaque année le pourcentage de violence contre les femmes augmente.

On peut essayer d’imaginer une société sans violences contre les femmes, mais qu’est-ce qu’on peut faire afin de s’engager dans la lutte contre ces agressions?

Tout d’abord, il faut éduquer les hommes, dès l’école, ils doivent apprendre à vivre dans le respect et l’égalité entre les filles et les garçons; ensuite, on pourrait améliorer l’efficacité des centres d’accueil des victimes où elles peuvent se sentir protégées et écoutées; en outre, l’état pourrait créer et financier des campagnes d’information dans le but de faire changer les mentalités; les différents pays peuvent proposer des lois contre la violence afin de préférer le respect et promouvoir l’égalité des sexes.

En dernier lieu, selon certains hommes, la violence envers les femmes est vue comme un moyen de domination des femmes et d’appropriation de leurs corps, ce type de pensée est à la base de la société patriarcale, c’est-à-dire une société qui voit les femmes comme des objets, qui ne sont pas capable de penser ou d’exprimer leurs idées ou leur pensée, et qu’elles ne servent qu’à procréer.
À mon avis, dans la société d’aujourd’hui, il y a encore beaucoup de travail à faire, mais si tout le monde s’engage à respecter les règles contre la violence à l’égard des femmes, on peut vivre dans ‘une société sans violence’, afin de construire un avenir plus heureux, sain, sûr et tranquille, sans violence et sans soucis pour le femmes.